12 conseils simples pour économiser de l’énergie pour le travail et l’apprentissage à la maison
décembre 8 2020, 11:26
Pour plusieurs Néo-Brunswickois, ce sera le premier hiver que les membres de famille seront à la maison les jours de la semaine, qu’ils travaillent à distance ou qu’ils fassent de l’apprentissage virtuel.
Ce changement de mode de vie lié à la pandémie a eu plusieurs incidences, notamment des animaux de compagnie qui se sentent moins seuls et une augmentation de la consommation de produits alimentaires.
Le télétravail peut également aboutir à des factures énergétiques plus élevées que prévu puisque les gens sont plus souvent à la maison.
C’est pour cette raison que nous vous partageons ces 12 conseils simples pour économiser de l’énergie. Vous pouvez économiser de l’énergie et réduire vos factures en apportant de petits changements à la maison, et ce, tout en protégeant l’environnement.
Vous pouvez consulter ces conseils et d'autres renseignements en accédant au portail Mon Énergie sur notre site Web. Si vous êtes prêts à faire des mises à niveau de l’efficacité énergétique de votre maison, veuillez consulter les conseils et les incitatifs proposés dans le cadre de notre Programme éconergétique pour les maisons.
Gérez votre technologie
- Réglez votre ordinateur et votre écran pour qu’ils passent en mode veille ou hibernation après 20 minutes d’inactivité. Ces modes sont moins énergivores et ils permettent de garder les programmes ouverts pour votre retour au travail. Ne prenez pas la peine d’utiliser un économiseur d’écran puisqu’il consomme autant d’énergie qu’un ordinateur actif.
- N’oubliez pas d’éteindre votre ordinateur la nuit et les fins de semaine. Cela pourrait vous permettre d’économiser jusqu’au tiers des coûts énergétiques de votre ordinateur.
- Débranchez les dispositifs et les chargeurs lorsqu’ils ne sont pas utilisés, vous pouvez éviter de payer pour cette énergie supplémentaire. De nombreux dispositifs électroniques sont énergivores même lorsqu’ils sont éteints – ceci est connu sous le nom d’alimentation fantôme. Ceci comprend les dispositifs comme les télévisions, les plateformes de jeux, les imprimantes, les cafetières et les chargeurs pour téléphone cellulaire. Si la prise d’un dispositif est munie d’une boîte d’adaptateur rectangulaire qui reste chaude, c’est un signe que le dispositif consomme de l’énergie même s’il est éteint.
- Envisagez d’utiliser une multiprise pour les dispositifs qui sont difficiles à débrancher fréquemment. En appuyant sur l’interrupteur, vous pouvez facilement couper l’alimentation de plusieurs dispositifs à la fois, ce qui permet d’économiser du temps, de l’énergie et de l’argent.
- Optez toujours pour de l’équipement éconergétique lorsque vous faites l’achat de nouveaux produits pour le bureau à la maison.
Optimisez de votre éclairage
- Profitez de la lumière du jour pour réduire votre besoin d’éclairage artificiel. De plus, la lumière de jour est bonne pour la santé mentale et la productivité.
- Utilisez une lampe de comptoir de cuisine lorsque vous préparez le repas, ou une petite lampe pour lire, pour mieux éclairer la tâche à accomplir et économiser l’énergie. Bien que les ampoules de plafond puissent éclairer un espace, elles consomment souvent plus de lumière que vous n’en avez besoin. L’utilisation d’une lumière dirigée pendant le travail réduit également la fatigue des yeux.
- Remplacez vos ampoules par des ampoules à DEL pour réduire la quantité d’électricité consommée. Envisagez l’utilisation des ampoules intelligentes dotées d’une minuterie ou d’applications pour téléphone cellulaire pour personnaliser la couleur, la durée et la luminosité de votre éclairage.
Ajustez de votre chauffage
- Mettez un tricot douillet et essayez de réduire la température sur votre thermostat de quelques degrés. Vous pouvez économiser jusqu’à deux (2) pour cent sur vos factures de chauffage par le simple fait de réduire la température de votre thermostat d’un degré Celsius pendant huit heures. Un espace de travail plus frais peut également améliorer la vivacité.
- Faites fonctionner les ventilateurs de plafond à basse vitesse et en sens inverse pendant l’hiver, ce qui crée un courant d’air descendant qui renvoie l’air chaud accumulé près du plafond dans la pièce d’habitation.
- Vérifiez les filtres à air de votre système de chauffage et replacez-les s’ils sont sales. En fait, des filtres propres consomment moins d’énergie et réduisent la pression exercée sur votre système.
- Laissez le soleil réchauffer votre maison. Les fenêtres orientées vers le sud offrent le plus grand potentiel de gain de chaleur. Gardez les rideaux ouverts et les fenêtres dégagées afin de laisser entrer le plus de lumière possible.
Économisez de l’énergie avec des décorations des Fêtes écoénergétiques
décembre 3 2020, 10:58
Beaucoup de Néo-Brunswickois préparent déjà leur maison pour les Fêtes – et nous ne pouvons pas vous blâmer – l’année a été difficile. À l’approche de la période des Fêtes, voici quelques façons utiles de devenir plus écoénergétiques et d’économiser de l’énergie cette année.
Si vous utilisez toujours des lumières traditionnelles plus anciennes, pensez à de passer aux DEL. Les diodes électroluminescentes (DEL) transforment la majeure partie de l’énergie qu’elles consomment en lumière visible plutôt qu’en chaleur.
Cela signifie que les lumières DEL des Fêtes consomment environ 85 à 90 % moins d’électricité que les ampoules traditionnelles. Elles durent jusqu’à 50x de plus, donc vous ne les remplacerez pas aussi souvent. Les lumières DEL des Fêtes vous feront aussi économiser de l’argent!
Combien? Cela dépend de la quantité d’éclairage que vous utilisez et du type de lumières que vous utilisiez auparavant.
Consultez cette comparaison des coûts *:
Lumières traditionnelles
43,66 $ par mois
Lumière DEL
]1,24 $ par mois
C’est 97 % de moins en coûts d’énergie!
*Comparaison fondée sur 6 séries de lumières fonctionnant 6 heures par jour pendant 31 jours.
Les minuteries sont un autre excellent moyen de gérer la consommation d’énergie de votre décor. Réglez une minuterie à l’épreuve des intempéries pour que vos lumières des Fêtes s’allument au crépuscule et s’éteignent au coucher.
Vous pouvez aussi trouver des options solaires pour les piquets d’entrée, les projecteurs et d’autres décorations, ce qui signifie qu’ils n’ajouteront rien à votre facture d’électricité et que vous n’aurez pas à vous soucier de faire passer des rallonges électriques!
Découvrez d’autres conseils simples sur les économies d’énergie pour votre maison..
Les arboristes de services publics améliorent la fiabilité
novembre 18 2020, 14:19
En tant qu’experts en matière d’énergie, nous savons que nos clients comptent sur nous pour assurer une alimentation en électricité avec le moins de perturbations possible. Notre équipe d’arboristes de services publics joue un rôle important dans le maintien de la santé de nos lignes afin de réduire les pannes d’électricité.
La plupart des arboristes de services publics de notre région n’ont pas l’expérience de la coupe de palmiers en Floride après un ouragan de catégorie 1. Mais c’est exactement le genre d’expérience qui fait de Brad Daley un tel atout pour Énergie NB.
Avant de se joindre à l’équipe d’Énergie NB en tant que chef de la gestion de la végétation pour le service de Distribution, Brad a acquis son expertise auprès d’un entrepreneur en gestion de la végétation en Caroline du Nord, et auprès de la Florida Power and Light en tant qu’employé. Il faisait face presque tous les jours à des tempêtes et à des appels de détresse, ainsi qu’à de grandes tempêtes tropicales et à des ouragans.
Mise à part la fréquence des tempêtes, il dit qu’il y a de nombreuses différences entre le travail dans le sud et dans le Canada atlantique.
« Nous ne pouvons même pas comparer le nombre de personnes au Nouveau-Brunswick, dit Brad. Il y avait plus de résidents dans mon comté en Floride que dans tout le Nouveau-Brunswick, ce qui fait en sorte que les conditions de planification et de travail sont très différentes. De plus, les types d’arbres sur lesquels nous travaillons ont une incidence sur le plan de travail. La végétation du sud des États-Unis croît beaucoup plus rapidement qu’ici au Nouveau-Brunswick, de sorte que nos calendriers d’entretien sont différents. »
Brad dirige une équipe composée de surveillants de la végétation, d’agents de soutien, d’arboristes de services publics et d’entrepreneurs responsables de l’entretien des arbres autour de nos 27 000 kilomètres de lignes à haute et moyenne tension dans toute la province.
« Les gens pensent que dans mon rôle je dois détester les arbres, mais j’aime les arbres et je respecte la valeur qu’ils jouent dans nos collectivités, tant en matière de beauté que d’avantages environnementaux, dit-il. Nous ne faisons des coupes que lorsque nous en avons besoin — il s’agit d’équilibrer la fiabilité et ce qui est bon pour nos collectivités et nos clients. »
Originaire du Nouveau-Brunswick, Brad a grandi dans la pittoresque région de Miramichi et est un fier ancien du programme de gestion forestière de l’UNB. Comme c’est le cas pour beaucoup d’autres, ses racines au Nouveau-Brunswick l’ont appelé en 2013 pour être plus près de sa famille.
Il est fier de diriger une équipe talentueuse d’employés et d’entrepreneurs qui apportent leurs compétences et leur formation à un travail à risque élevé.
« Parfois, les gens supposent que nous ne faisons que pirater des arbres au hasard avec des scies à chaîne, dit-il. C’est pourquoi nous n’aimons pas qu’on nous appelle des “tondeurs d’arbres”. Nos employés et nos entrepreneurs sont des experts dans leur domaine, et bon nombre d’entre eux ont une formation en biologie des arbres et sont des arboristes certifiés par la Société internationale d’arboriculture (ISA). Nous nous occupons des organismes vivants et respiratoires et nous offrons une formation et des tests approfondis pour nous assurer que nous faisons ce qu’il faut pour notre province. »
Vous voulez en savoir plus sur la façon dont nous entretenons les arbres près des lignes électriques ? Visitez www.energienb.com/entretiendesarbes. Vous y trouverez des vidéos sur ce travail important visant à prévenir les pannes de courant et un formulaire d’accès à l’entretien des arbres pour votre maison ou votre entreprise.
Le parcours professionnel de Leah Belding à la centrale de Point Lepreau : d’une jeune locale à une professionnelle du nucléaire
octobre 20 2020, 13:32
Énergie NB est fière d’être propriétaire et exploitante de la seule centrale nucléaire au Canada atlantique. Tous les jours, les employés de la centrale nucléaire de Point Lepreau (CNPL) travaillent fort pour produire une énergie sûre, fiable et propre pour les Néo-Brunswickois. Dans le cadre de la semaine des sciences nucléaires, nous sommes heureux de mettre en vedette Leah Belding, superviseure de quart accomplie de la centrale et Néo-Brunswickoise de bout en bout.
Pour Leah Belding, être dans la salle de commande principale de la centrale nucléaire de Point Lepreau fut un moment déterminant dans sa carrière. À l’époque, elle n’avait que 19 ans ; elle venait de terminer l’école secondaire et elle travaillait pour les services d’entretien général dans le cadre d’un contrat à court terme.
« C’était vraiment impressionnant de voir des professionnels du nucléaire en train de travailler dans une salle où il y a des centaines de boutons et d’interrupteurs, sachant qu’ils exploitaient une centrale nucléaire, a dit Leah. C’est à ce moment que j’ai décidé que je voulais faire partie de l’équipe d’exploitation de la centrale nucléaire de Point Lepreau. »
Leah est originaire de la région, plus précisément de Chance Harbour, qui est à environ dix minutes de la centrale. En fait, bon nombre des membres de sa famille, de ses amis et de ses voisins ont travaillé à la centrale. Elle savait donc que la centrale nucléaire de Point Lepreau est un bon employeur avec de nombreuses possibilités de carrière lorsqu’elle aurait terminé l’école secondaire.
Au cours de son premier contrat de six mois, Leah a établi des liens avec des collègues, qui sont devenus en quelque sorte ses mentors et qui lui ont appris les possibilités de carrières à l’intérieur des différents services.
« J’ai eu la chance de voir de près le rôle des gens qui exploitent la centrale nucléaire, ce qui fut une excellente occasion d’apprentissage, ajoute Leah. Les discussions que j’ai eues avec les employés m’ont fait voir que je voulais faire carrière à la centrale nucléaire de Point Lepreau, plus précisément dans l’équipe d’exploitation. C’est un travail pratique et dynamique, ce qui me passionne beaucoup. »
Leah s’est donc inscrite au programme de technologie du génie en matière d’énergie au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB). À la fin de sa première année du programme, Leah s’est de nouveau joint à l’équipe de Point Lepreau en tant qu’étudiante en technique des centrales électriques. Dans le cadre de son programme coopératif, elle a été affectée à l’une des équipes d’exploitation. Cette expérience lui a permis d’apprendre ce en quoi consiste le travail à temps plein à la centrale, les défis du travail de quart, et les activités quotidiennes effectuées par les équipes d’exploitation, par exemple, faire la demande de permis de travail, effectuer les vérifications générales, répondre aux besoins d’intervention en cas d’alarme des opérateurs de la salle de commande, etc.
Lorsqu’elle a terminé son cours au CCNB, Leah fut embauchée en tant qu’opératrice de la salle de commande. Elle a également suivi une formation spécifique aux centrales nucléaires et une formation en radioprotection, afin d’être bien outillée pour travailler à la centrale nucléaire de Point Lepreau. Deux ans plus tard, Leah a eu la chance de devenir opératrice de centrale principale en suivant des formations supplémentaires. À ce titre, Leah effectuait, entre autres, des inspections sur le terrain et des essais de fonctionnement afin d’assurer la fiabilité de la centrale.
Deux ans plus tard, Leah a été choisie pour devenir opératrice autorisée de la salle de commande, son objectif de carrière.
L’opérateur autorisé de la salle de commande est un poste de leadership parmi les employés autorisés par la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) à exploiter la centrale. L’opérateur autorisé de la salle de commande est responsable de surveiller l’état des systèmes et de ses composants, d’interpréter l’instrumentation et y répondre de façon appropriée, de vérifier le travail des membres de l’équipe, et de configurer la centrale pour permettre l’entretien spécialisé et la vérification. L’opérateur autorisé de la salle de commande joue également un rôle important lors des urgences et de tout événement concernant la sécurité du personnel.
Le programme de formation d’opérateur autorisé de la salle de commande, d’une durée de trois ans, est très exigeant. Il consiste d’une année de formation générale, une année de formation spécifique à la centrale, et d’une année de formation par simulateur, où les candidats doivent répondre à des situations d’urgence hypothétiques. La période de formation est suivie d’une période de six mois de co-pilotage, où Leah a travaillé avec un opérateur autorisé de la salle de commande afin d’acquérir de l’expérience. À l’âge de 29 ans, seulement dix ans après avoir fixé son objectif de carrière, Leah a obtenu la certification d’opérateur autorisé de la salle de commande.
« Le programme de formation d’opérateur autorisé de la salle de commande est très rigoureux. Il demandait beaucoup de lecture et d’apprentissage autodirigés avant de passer à l’apprentissage pratique. Au cours du programme, j’ai donné naissance à mon premier enfant. J’ai donc dû concilier ma vie familiale et mes engagements au travail afin de continuer de progresser. J’ai été chanceuse d’avoir l’immense soutien de ma famille, de ma communauté, et de mes collègues, qui m’ont aidée à atteindre cet objectif de travail important. »
Pendant les neuf prochaines années, Leah a travaillé en tant qu’opératrice autorisée de la salle de commande, restant bien à l’affût de ce qui se passait à la centrale.
« J’adore le milieu de travail dynamique et l’approche d’équipe pour l’exploitation, dit Leah. Être dans le milieu de l’action et fournir de l’encadrement pour une grande équipe est très passionnant et valorisant. Lors de chaque quart de travail, on compte sur moi pour prendre d’importantes décisions selon mes connaissances acquises afin d’assurer la sûreté et la fiabilité de la centrale. »
En septembre 2016, Leah fut encore une fois reconnue pour ses compétences et ses capacités de leadership. Cette fois, elle fut choisie pour suivre une formation pour devenir surveillante de quart.
À la centrale nucléaire de Point Lepreau, le surveillant de quart a le rôle le plus élevé dans l’équipe d’exploitation. Le surveillant de quart en service doit veiller à ce que la centrale soit exploitée conformément aux politiques et principes d’exploitation, et au permis d’exploitation du réacteur de puissance accordé par la CCSN. Enfin, il est responsable d’assurer le maintien de la sûreté nucléaire et de la protection du personnel, du public, et de l’environnement. Le surveillant de quart prend les décisions opérationnelles et fixe les priorités des travaux à effectuer. Il est également chargé de diriger l’intervention en cas de conditions anormales ou de situations d’urgence à la centrale.
Elle a terminé la formation par simulateur, et après avoir travaillé sous la surveillance directe d’un surveillant de quart autorisé pendant 40 quarts de travail, sa demande de certification a été soumise à la CCSN et elle est officiellement devenue surveillante de quart.
« Ce fut un honneur pour moi de suivre la formation pour devenir surveillante de quart à ce moment, a dit Leah. Cela fait maintenant 19 ans que je travaille chez Énergie NB, et j’ai passé 40 pour cent du temps en formation, soit en classe, soit en simulation. La formation se concentre non seulement sur l’exploitation de la centrale, mais également sur le côté personnel du travail d’opérateur — non seulement sur ce qu’il faut faire, mais comment le faire de sorte à répondre aux attentes élevées des employés. »
Leah et son mari, avec leurs trois enfants, habitent à Chance Harbor, près de leur ville natale. Leurs liens de famille avec la centrale nucléaire de Point Lepreau et l’industrie de la pêche sont profonds et s’étendent sur plusieurs générations. Pour Leah, ces liens font en sorte qu’elle ne prend pas à la légère ses responsabilités en tant que surveillante de quart.
« Lorsque je pense que je dois assurer la sécurité du public et des régions environnantes, je pense à mon mari, à mes enfants, à mes frères et sœurs, à mes nièces et neveux, à mes parents, à mes tantes et oncles, à mes amis, et à notre ville natale, termine Leah. Je pense à mon mari et aux membres de notre famille qui sont pêcheurs, qui fournissent de la nourriture fraîche et sûre pour les gens au Nouveau-Brunswick et plus loin. Je m’engage à exploiter la centrale nucléaire de Point Lepreau de façon sûre tous les jours afin de protéger les communautés environnantes. »
Un employé d’Énergie NB aide à secourir une concitoyenne du Nouveau-Brunswick
août 18 2020, 16:40
Parfois, les héros portent des casques de chantier plutôt que des capes.
Terry Bass, chef de la construction chez Énergie NB, ne s’attendait certainement pas à faire partie d’une équipe de sauvetage lorsqu’il s’est rendu au travail un beau matin d’été. Terry travaillait aux côtés d’une équipe de la East Coast Powerline dans la forêt près d’Allardville. Avec l’aide d’un hélicoptère de la compagnie Vortex, ils travaillaient à des mises à niveau de la fiabilité dans le nord du Nouveau-Brunswick.
Au sommet d’une tour de près de 25 mètres de haut (80 pieds), un membre de l’équipage a entendu quelqu’un appeler à l’aide. Ils criaient dans la direction du son et une femme criait en retour qu’elle était perdue dans les bois depuis des jours et qu’elle ne pouvait plus marcher.
Terry et le reste de l’équipe se sont mis à l’œuvre, en commençant le plan d’intervention d’urgence qu’ils apprennent avant chaque projet. Ils ont assuré la coordination avec Ambulance NB et la GRC avant de prendre place dans l’hélicoptère. Armée d’une planche dorsale et de fournitures médicales, l’équipe a été déposée près de la zone de sauvetage marécageuse.
« Les membres de l’équipe ont traversé de l’eau, de l’herbe, de la boue qui montaient jusqu’aux genoux et ont continué jusqu’à ce qu’ils la trouvent, a dit Terry. Étonnamment, elle a été capable de parler et avait un bon moral, mais elle n’était pas en mesure de s’en sortir toute seule. Nous avons travaillé ensemble pour la sortir du marais et l’amener sur la terre ferme. Ensuite, nous avons trouvé la route d’accès la plus proche et nous l’avons conduite à travers la forêt dense et les broussailles pendant que les ambulanciers s’occupaient de ses besoins. »
Après une randonnée d’environ 2,4 km, l’équipage a été étonné d’apprendre que c’était une femme de Saint-Isidore, portée disparue depuis près de deux semaines. La GRC et l’équipe de Recherche et sauvetage au sol la cherchaient.
« Je n’arrive pas à croire qu’elle est vivante, dit Terry. Elle dit qu’elle buvait de l’eau accumulée sur le feuillage et elle mangeait des baies trouvées au sol. Il est remarquable qu’elle s’en sorte aussi bien après une expérience aussi terrible. Nous sommes tous heureux d’avoir été au bon endroit — un endroit très isolé — pour être en mesure de l’aider à retourner chez elle. »
Terry et l’équipe ont aidé les premiers intervenants à amener la femme à une ambulance et elle a été transportée à l’hôpital, où elle a été traitée pour des blessures mineures. Elle est heureuse d’être de retour chez elle, grâce à l’héroïsme de notre équipe.
Quiconque connaît Terry ne sera pas surpris d’apprendre qu’il a joué un rôle dans cette mission qui a sauvé des vies. Il a à cœur d’aider les autres et est un parfait exemple de ce que sont nos employés.
Chez Énergie NB, nous sommes fiers de nos employés qui sont au cœur de notre entreprise. Travaillant dans les communautés de notre grande province, nos employés servent les Néo-Brunswickois depuis plus de 100 ans.
Cette histoire est un exemple puissant de la façon dont une coïncidence parfaitement opportune, alliée au courage et au savoir-faire, peut changer la vie d’une personne.